vendredi 17 février 2017

'Route compagnie Savane' 4 fin



 j'ai repris un peu plus haut , je n'avais pu faire quelques tours de corrections,... désolée pour les courageux de lecture
je remets en 3 le texte en correction
j'espére que vous avez passé une bonne saint Valentin fraternelle

 4
Çà a du être çà son 180 ° !



La route est de plus en plus "burdoquante". Joséphine la joie la maillote, sa Maman l’a proposée  au gérant de l’hôtel pour cette course aux phacochères sur le chemin de Ouagadougou. La gaine du silence donne de l’écho à tous leurs mots.

 Karl lui jette un regard de temps en temps , il pense à ses jours de grande foule quand il rentrait dans le plus grand monologue d’un de ses personnages de Shakespeare foudroyé ; de tant d’éclairs-images avant d’ offrir les mots justes et imbibés des moiteurs de son personnage  aux spectateurs. Parfois il pouvait passer une nuit sur les quais de la Seine à chercher comment dire une virgule.



 coupure

 lamangou@gmail.com 
si vous voulez finir votre lecture



La jeep en arrêt pour laisser passer le lion après un troupeau d’antilopes cheval.

Ils arrivèrent au village des chasseurs- gardians de Savane.

-         Oh dit donc patron t’en a mis du temps !

 Ah mademoiselle ! Tu vas repartir en épousailles avec la jeune demoiselle ? …

-         Karl sourit, il est sonné de la route,   

 Son trouble encore là, fait parler ses boys de la brousse.

-Patron tu ne repars pas cette nuit.

 Demain on préparera à 4 heures, tu partiras dans la fraicheur mais arrivée à Bobo tu cuisines vite,  ils sont tués de ce matin. Le faisandage à cette chaleur est bien pris.

- Allons les voir.

Joséphine tu restes là sous l’arbre bois le thé.



-A la ferme petite,  j’assistais à la cuisine du cochon après que papa l’est tué. Je  peux, maman et papa ne te diront rien.



Les phacochères  sont  installés dans la case qui a été fermée depuis deux jours pour garder en elle la fraicheur de l’ombre. Avec des torches les phacos  éclairés.  Ils sont trois : l’énorme,  les deux autres en taille décroissante. Ils sont bruts de leur pilosité épaisse très odorante avec les cornes presque dressées.

-Allons  manger, tu vas nous parler de Bobo et de nos frères……

Le vin de palme et quelques improvisations chantées accompagnées de tamtams concluront ce diner copieux de voix , de rires

-patron cuisines quand tu arrives.

- Une dame s’est proposé de me les préparer jambon, aux pâtés, au civet…

-Maman ?

- oui, Pompon, mon salaire de nourrice m’a telle dit.

-Merci çà va lui faire du bien, elle est à bout de nerfs d’attendre,

 C’est une bonne charcutière.

Pompon tend ses bras vers Karl (Im 8O le monsieur). Il se penche, l’embrasse :

-  Merci coéquipière.

-Vous savez Karl vous lui offrez des bulles d’air entre ses bulles de massacres            au dedans.

Merci pour Nous, ses gamines  vous mettez en radis glace sa douleur l’attente.

Le singe dort dans la jeep.





Fin

Peut-être autre chapitre la semaine prochaine. ????

Suite demain soir





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3 commentaires:

  1. Ce soir sous les étoiles de la brousse , je dors dans la jeep avec le singe!

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  2. ok ma chérie mais viens boire du vin de palmes et quelques agapes grillé dans le pneu barbekiou et méler ta voix avec la fine équipe et le gardians..
    gros bisous je te garde un bocal de civet de phacophére.

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  3. Oups! Le coeur au bord des lèvres... le souvenir de quelque rata sauvage bien trop odorant pour mes narines...
    Bon dimanche, Frankie!

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