dimanche 13 septembre 2015

atelier d'écriture de l'hajat frankie pain à la petite Rockette

le premier atelier d'écriture de l'Hajat à la petite Roquette

pour tout renseignement
le cahier de l'arbre

si çà vous dit d'en composer un chez vous
bienvenue de vous y lire

à chaque atelier j'ai décidé de consacré 5 à 7 minutes pas plus à écrire sur un arbre
cela peut être ses frondaison  ses écorces ses racines.....

Le cognassier
C’est l’arbre des poules que j’ai élue quand j’étais en 6 éme pour créer mon club les LOUCAMAFA Luc Loubatière, Catherine Bouin, et ma pomme Pompon Françoise.
Au fond des poules, il ne payait pas de mine sauf quand il était en fleurs et quand ils portaient ses fruits d’or. J’avais pris à grand mère le dernier drapeau de la sainte jeanne d’Arc qu’elle avait confectionné pour marquer l’arbre de notre insigne le club. Ce club était d’une grande tristesse. IL faut dire qu’après les coures de l’école Point E à Dakar où les garçons faisaient de la guitare ou des jeux de cavaliers  et les filles  qui s’entrainaient à la danse pour leur fête familiale du weekend end. Cette pauvre Catherine était d’une mélancolie  comme un jour sans pain et ce Luc même s’il m’avait plus ou moins fait la cour, comment pouvait il rivaliser avec Patrick Richetti fils des grandes voitures de sport italiennes avec qui après une année passée comme seul français dans l’école africaine nous avions passé 15 jours ensemble sur le Pont du Lyautey à ne pouvoir se quitter sans pouvoir se toucher, ce n’était que nous mots qui nous liaient et nous enjambions de point à point nos phrases, nos pensées , en sachant que lorsque nous apercevront Marseille, ce serait notre dernière phrase.
 Comme il est dur à faire  le premier baiser. Quand on en a très envie qu’on ne sait pas après ce qui se passe, peut-être que l’on devient enceinte.  Si jeune cela était inconcevable aux deux. Nos deux dernières phrases en adieu au vue du port de Marseille.
Cher Cognassier afin de te donner une deuxième chance après ce ratage du club LOUCAMAFA je t’ai placé dans mon roman dans un champ de patates toujours aux poules prés de la gare désaffectée prés de la construction de la « case cabane » de mon héro noir. Pour te distraire je t’y ai mis en plus quelqu’un qui joue de la chora , dans le poulailler j’y ai rajouté de nombreuses espèces de canards du monde entier pour la joie des couleurs de Mémé Louise Marie. Et un jour Cognassier, tu seras dans les vitrines des librairies de France et pourquoi d’autres pays comme l’Afrique,  grâce à Delphine Tchang au Cameroun qui s’est proposée de le critiquer lors  sortie de son livre sur l’Africaine au prix Goncourt.
Salut Cognassier. Quand je vois les coings sur le marché de Belleville en fin d’automne, je pense toujours à toi.









La fabulation


L’histoire de la princesse du Niger qui veut se marier avec un aussi bon menteur qu’elle.
Afin de ne jamais avoir à répondre c’est autobiographique.
Il n’y que vous qui choisissait  et qui savait le pourcentage de mensonges…..

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Le protagoniste

La photo les lèvres dans le miroir




Ces lèvres pimentées de tes baisers aldente. J’aime leurs reflets dans le miroir, elles concrétisent ta rage de m’éprendre. Pauvre  schnock. Trop tard pour ton feu.  A t’attendre j’ai déplacé mon triangle des Bermudes dans ma tête. Ce qui s’y joue chaque moment où je me vautre dans le drap-page. Tu n’as pas l’imagination assez musclé pour te la raconter  j’avoue que le galbe de plus à mes lèvres vont lever les beaux mâles dans mes déambulations à Saint Germain des prés.

Les taies d’oreiller sur la méditerranée





Dans la pinède ils ont dormi Elle avait pris la taie aux marguerites bleues, lui la taie blanche : lui donner un peu d’innocence. C’était un Bad boy. Elle l’avait choisi pour cela. Les grenouilles de bénitier hommes ont tellement ranger leur service trois pièces  avec la pile à torchons de mémère qu’il leur faut tellement de coups de manivelles pour les lancer que quand ils y arrivent, il n’y a plus le mouvement des vagues… Alors que  le Bad boy c’est le Tsunami. Ca fait la une des journaux, tu peux rester coller au plafond… Là, il fallut étendre les taies d’oreiller face à Méditerranée tant elles étaient en sueur…
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Simone Signoret  jeune, Delon
 Simone Signoret dans le rôle Mme Rosa 
et le papi dans le bus



Ils ont pris l’autobus pour rejoindre la jetée et le bateau pour Knossos. Cet homme était hanté par l’image d’une jeune fille qu’il avait aimée jeune et dont plusieurs détails telle la voix de sa voyageuse le lui rappelaient. Apparemment elle ne se rappelait pas ou le cacher très bien. Son visage était marqué d’une vie  qui n’avait pas été dans la lignée des roses  de Bagatelles même si son prénom était Rose de Pauillac. Elle  s’appelait  d’ailleurs  ainsi. Cela ne veut rien dire. Il y a des femmes qui ont plusieurs passeports. Plus que de sacs à main. A sa frénésie, elle se jetait dans les braises des "éclades" des corps comme pour "démagmatiser" le passé à la chaux vive. Je pars avec elle pour Knossos. Si la vie m’a remis sur sa route, cette fois ci je ne la quitterai pas, ma vie n’a été qu’une suite, de sa recherche. Si elle savait l’amour que je lui voue. Acceptera-t-elle de le recevoir ?

Le repas de fruits de mer

Reynald sur le paquebot convia Rose à la salle à manger et commanda un plateau de fruits de mer. Rose éclata de rire, à en pleurer. Elle regardait Reynald, elle pleurait : d’habitude dit-elle c’est quand je finis une histoire que je commande un plateau de fruits de mer afin que tout ce que l’on ne s’est pas dit se dise. Et, pour vous Reynald ? ….. C’est pour rendre à nos bouches ces baisers fous d’eau salée, la finesse de la chair de langouste vos adorables caresses en râteau japonais, vos doigts tentaculaires du poulpe, les huitres leur couleur sont celles de vos iris quand vous partez à l’horizon dans nos extases ils se colorent des teintes de leur perle….. comme de me tatouer, Rose, par mes papilles salivaires, l’émerveillement de nos retrouvailles Françoise….
Ils se regardent comme  poser sur un bloc de glace habillés de toutes les algues de leur plateau des fruits de la mer.
Après un très long silence.
Rose Françoise : le Bois plage, …
Reynald fait oui de la tête, son sourire est immense
Rose Françoise : l’écume des jours, Gudule,
Ils se lèvent, font le tour de la table, ils se prennent dans les bras avec la conscience que ce n’est plus la chimère de leur quête mais l’objet même de leur quête qu’ils ont entre leurs mains. Ils s’effleurent à peine les lèvres comme leur première fois été 68, et se rasseyant, ils dégustent tout, dans un silence monacale, le sourire embrasé d’une si grande félicité réciproque.
Fin  

  de votre Frankie Map 's Monde



















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