le "si" exposés merci aux plumes du carnard de barbarie

 Le canard de barbarie

je petit jeu du si j'étais de la fin du monde  (voir le blog d'hier)
http://lamangou1.blogspot.fr/2012/12/demain-ici-sur-ce-blog-seront-expose.html 

bonne nouveelle Giné m'a lu ce matin, et Mireille du sud c'est mis dans la cabane pour nous écrire quelque chose et Solange du Québec aime la tête du chien...

 Olivier Dentier

Si j'étais le pape, je me ferais sous-pape à faire des lachers de pression sous forme de bulles pas catholiques.
Si j'étais riche, je convertirais mes devises en nuages de confettis d'imaginaire

Si j'étais la hideur, il n'y aurait ENFIN plus d'obstacles à ma flamme intérieure.

Si l'on chiait en hauteur, chercherait-on encore l'élévation de l'esprit ?

Si la vie n'était qu'un fou rire, quelle bien bonne blague serait la mort !

Si tout lien était complicité, nul ne pourrait être déclaré coupable (l'un de l'autre)

Si la résistance était un marshmallow, marshmélo, moi je dirais : "je marche pas !"

Si l'histoire se réinventait est-ce qu'il y aurait des guerres ?
Je rêve d'une grande veillée contes là où ça chauffe, là où ça brûle, là où on nous fait oublier qu'on est du même terreau.

Si l'amitié était un furoncle, le mérite à lui accorder serait son absence absolue d'hypocrisie.

Solee de Toulouse

Si j'étais riche, très très riche, je m'achèterai un nid douillet pour ne plus jamais risquer de finir dehors une sombre nuit d'hiver, j'achèterai un bois pour chauffer ma maison, un champ pour manger des légumes. J'offrirai une ferme à un paysan ruiné par la mondialisation pour élever de belles bêtes, avoir des oeufs frais, du bon lait crémeux, des poulets magnifiques des boeufs à la chair tendre sans antibiotiques ni hormones. Je ferai nettoyer les rivières et les étangs, les fleuves et les océans pour y remettre des truites, des carpes, des saumons et des brochets aux dents extraordinaires.

Et puis des champs pour que des millions d'abeilles puissent butiner mille fleurs jolies qu'elles transformeront en miel translucide et savoureux... A chacun qui me demanderait un toit pour s'abriter avec femmes et enfants je demanderai un service, celui de poser une pierre à l'édifice d'une société humaine plus juste et apaisée, d'une société qui défendrait ses membres les plus fragiles et les plus simples. Après que cela serait fait, j'irai dans mon jardin écouter les oiseaux me chanter leur joie, regarder le soleil se coucher dans un brasier rougeoyant et enfin voir la nuit arriver doucement accompagnant la lune qui viendrait allumer la noirceur.

Oui j'aimerai que ce soit la fin de notre monde cupide, mercantile et de moins en moins humain. La Terre est née bien avant nous, elle nous survivra n'en doutons pas, quoi qu'il survienne et c'est très bien comme ça !

Tiens ma chérie un petit mot pour la fin du monde, pour toi messagère du divin qui nous coud chaque jour un si bel avent...

Je t'embrasse ma belette,

frankie

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Si j’étais le pape je serai marié avec toutes les femmes du monde et comme aux vaches maintenant, j’installerais des trailleuses à « Pise pine » que j’aurai fait invener par les cardinaux du Vatican,.

vas,

vas- y

vas çà

quand ?

Adam qu’est-ce qu’il a fait avec ses 7 femmes ?  Une par jour.

M’épargner  de la besogne, qu’importe le flacon pourvue qu’elle soit comblée.

Une femme comblée, le pape  peut lui demander n’importe quoi  ? Ainsi  par la sensualité dégagée dans cette grande maison de papa, de l’église comme la monnaie de pape , moi, le pape, réussirait mes discours (comme une bègue) euculbenis - eucubénique -euculbernique - comme Goethe depuis qu’il avait rencontré dans son fondement de devant  l'égérie romaine en Christiane Vulpuius , il avait connu le mystère des marbres de Rome et sa poésie se trouva rehausser de sensualité elle en fut plus puissante de sens..

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Si   riche

que j’ai mon pantalon troué de mes pets de bombance.

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Si j’étais la hideur,

 je ne la cacherai pas, je l’exposerai encore plus, je ne longerai pas les murs, je m’asseyais dans les places les plus voyantes de tous, j’obligerais les gens à me saluer de respect, autrement j’entraverai la route. Oui Respect d’avoir eu le courage de vivre aussi laide dans une société qui ne donne qu’à la beauté et ou la beauté se transfuge en implants de tout.

Fastoche pour moi de me projeter étant pour certain une éléphante woman ,alors qu’ au départ je n’étais que dodue caille, alors que, dans la ville de mon berceau de culture, j’avais été la déesse des slipping de tous les grands docteurs de l’université , de la médecine ,de la légion étrangère ,, des arts toutes rubriques ……

Un billet de train pour la capitales,  4 heures de temps à l’époque , et je devins transparente

Transparente, zapper au point qu’ils , les homes me rentraient dedans m’ayant esquiver dés mon entrée de champ dans leur champ visuel. Ou alors j’étais  l’appâdans le regard des hommes à jamais comme après le breuvage offert perfidement par  d’une méchante marraine.t. L’Appât pour attirer leur future copine mes amies . Quand ils les avaient dans leur filet, ils me disaient «  aller la grosse casse toi :  t’étais là que pour nous les ramener. « Trente ans çà m’a duré . Après je perdis 20 kilos., grâce à un bon et gros cancer, j’ai perdu 20kilos. Le plus dandy de tous,  qui a l’annonce de mon crabe m’avait dit signe le après on verra. Que pouvait on voir de plus que cette charmante phrase, pour un grand auteur il avait l’art de dite le plus en si peu de mot. Depuis longtemps je voyais bien qu’ils  n’avaient d’yeux que pour les jeunes gazelles ou les femmes qui avaient déjà la marque du leveur de coude, leveuse de coude. Il l’avait la fascination de ma phrase enceinte à la Proust lui qui écrivez que des scénarios mazette avec césar à l’honneur.  …

 Alors la hideur !  Elle n’est possible que chez l’homme pour la faire accepter.

Et la hideur est aussi complexe que l’obscénité…Qu’elle est l’élément qui fait basculée dans la fange de la perte du regard.

Alors Dodue Caille mon nom gravée en tatouage papoue sur mon front,  Dodue Caille ne sort que vraiment quand c’est nécessaire Elle  est belle Dodue Caille à souhait. La beauté s’use si on ne la regarde pas, .

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 Si on chiait en hauteur

 , les oiseaux pourraient se nourrir de nos crottes qui tomberaient et monteraient. L’hiver ce serait leur resto du cœur.

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Si la vie n’était qu’un fou rire

, les chirurgiens ne cesseraient d’opérer des éventrations.

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Si tout lien était complicité : on ne connaitrait plus la solitude , nous nous répéterions assez vite sans récréation à soi qu’est la solitude.

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Si la résistance était un mach malo mach mélo

 

On aurait des couleurs pastelles aux joues, les abeilles nous prendraient pour des fleurs, nous butineraient et nous serions dans une incessante symphonie de vols du bourdon.

Autre avantage nous ne chercherions plus le lâcher pris, « vulgurus vulgarisa parlando « : avoir le ventre mou, nous l’aurions naturellement. Et qui nous fait ou nous met en situation de bras de fer, il se prendrait dans sa martingale dans la frimousse de brochet ,nos caïmans de Vendée, ils   se casseraient la margoulette, ne rattraperaient sa galette, sa cible et tout son purin intérieur lui reviendrait tel un bon boomerang en plein dans sa bile. Son gourdin en prendrait un coup , car ils ne bandent  ces loupstiques que par l’agression à l’autre après bien évidemment l’avoir honteusement séduit .un match mâlo,  match mélo !

Je suis un machalo, une machalait, un machmélina (dire comme la petite Inès après avoir embrassé la première fois sous la table de la cantine son petit copain avec la langue au buffet de la gare elle me fit la chorégraphie gravée aujourd’hui  encore en moi : »je suis une femme, une femme , une femme ».)

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Si l’histoire se réinventait est-ce qu’il y aurait des guerres?

Non. C’est le souhait de tous les hommes. Mais où irait s’évacuer les bas morceaux de l’homme, femme confondue bien sur. ? De la toute puissance de certains soldats d’un bord ou de l’autre, en tant de guerre. Fille d’un homme qui a fait  guerre et s’en ait jamais vraiment remis précipiter dans la mort  aux deux ans de son dernier fils. La folie d’une trouille au mètre à zéro. Sa bavette de tuer, de violer, de piller, d’incendier…. Qui est son bompoint.

 Sans état de guerre, la liberté que prennent des personnes pour tirer sur 20 petits enfants dernièrement aux USA.

Nous avons remplacé la culture, par des états de guerres  de civiles sans autre commandement qu’un surmoi qui ne fonctionne pas et une pulsion qui est reine, un moi qui exécute la pulsion meutrière.

… plus les ancestrales et celles qui surgissent et ne s’éteignent pas tuant les civiles etc.…

Si l’histoire se réinventait il faudrait inventer un antidote pour enrayer l’état de guerre en quiconque.

8

si l’amitié était un furoncle.

On se ferait moins chier avec les faussaires. On verrait la fausse vessie qu’il se serait collé pour en avoir l’apparence. Ca rapporte un max les fausses amitiés : investissement zéro et en fac ; le pactole . L’amitié et de l’amour réunies sont des sentiments qui génèrent des  largesses. Et de son amitié de pacotille on lui ferait une incision, on expurgerait le pus, le pus de son dedans dans lequel il baigne nauséeux, vieille barbaque saprophyte de l’humain, hyène humaine. Et nous le tremperions dans des baignoires de dakin au milieu de la place public  -  post modern des chevalets de tortures du moyen âge - .Les langues se délieraient,  riraient mais ce serait jaune comme ce pus  putride.  Pour soit comme pour les autres on n’aime pas ces « piragnasses » de si belles valeurs .

 Dans le bucher de la fin du monde, c’est demain , ces vielles valeurs  que l’on abandonne. Youpî youlélél, youpe lala . c’est Fini, C’est fini . c’est fini.

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Si l’enfant

n’oublierait rien de ce qu’il sait par intuition et magie de l’innocence on s’embêteraient moins avec ceux qui sont devenu adulte à 150 %.

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Si la famille

n’existait pas, comment apprendrions nous à devenir meilleur, à dompter

l’indomptage.  Les secrets en héritage, les conflits des Atrides et des Alcibiade, des Caïn et nous raccrochons les wagons de tous les archétypes   qui se trimbalent au fond des archaïsmes.

Merci la famille rien de plus beau  pour le travail sur soi, et le dure travail du pardon. La rédemption.

si vous m'envoyez vos si je les mettrai  grosses bises et  ce soir à 23h nous serons fixer , nous avons de toute façon bel espoir 

plein de gros bisous

je vais partir samedi soir quelques jours en bretagne alors  serait moins assidue de ma présence ici

alors   l'instantanée pour armarita

 et l'envol de la câne sauvage...